Attaques chimiques
à répétition - 09/20
De nombreux sites sur Internet montrent de telles
photos...
... et relatent les dangers conséquents à ce type d’expérience.
On peut les consulter en utilisant le mot anglais: Chemtrail.
La traduction de Chemtrail est "rail chimique". Chacun sait
que les satellites sont très performants et capables d’observer
par en haut de tels phénomènes. Ces traces peuvent servir
de repère afin de voir comment réagit l’atmosphère
à un moment donné de la journée. Ces données
peuvent être transmises à une organisation disposant de
moyens techniques conséquents pour analyse... Un super ordinateur
par exemple.
On peut donc se poser la question suivante: est-il possible de forcer
l’atmosphère à réagir dans le sens d’une
prévision annoncée et cette action ne risque-t-elle pas
de perturber gravement le temps et de provoquer des tempêtes intempestives
ou bien des inondations catastrophiques? Accessoirement des problèmes
de réaction allergique ou bien un empoisonnement collectif par
voie aérienne??
Le CNES participe au programme CALIPSO en collaboration avec la NASA:
Cloud Aerosol Lidar and Infrared Pathfinder Satellite Observations.
L’objectif de ce programme est de mesurer l’impact radiatif
des nuages et des aérosols. Ceux-ci peuvent être d’origine
naturelle: vent de sable ou bien éruptions volcaniques.
Les aérosols peuvent aussi résulter de l’activité
industrielle, de la pollution, d’une catastrophe de type Tchernobyl,
plus simplement du rejet continuel de produits radioactifs dans l’atmosphère
par le fonctionnement normal des centrales atomiques en–dessous
du seuil autorisé par la loi.
Les aérosols peuvent aussi être des traceurs passifs destinés
à améliorer l’observation de nuages dans lesquels
des substances sont diffusées. Actif est opposé à
passif, et des substances peuvent être diffusées par voie
aérienne avec un objectif précis. |