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Manipulation du climat |
Modification du climat - 2/3 D'autres systèmes, dans lesquels des antennes terrestres et satellitaires réalisables pourraient apporter la puissance pour le réchauffement de régions spécifiques de systèmes climatiques afin de minimiser le développement de phénomènes climatiques dangereux, peuvent aussi être envisagés. L'implémentation d'une géoingénierie opérationnelle au moyen de systèmes spatiaux surmontant tous les problèmes scientifiques, politiques, légaux et financiers durant les 30 prochaines années pourrait bien être peu probable. Cependant, il y a un net besoin de regarder les options possibles et, dans un premier temps, cette étude définira plus en détail certaines de ces options. Un effort mondial pour mieux prévoir et mesurer le comportement de ces phénomènes climatiques est en bonne voie. Cependant, comme énoncé par Jenkins, "la recherche pour comprendre les processus des systèmes terrestres est cruciale, mais ne suffit pas pour fournir des moyens de réduire les effets des changements environnementaux. Les options de géoingénierie et les alternatives pour gérer interactivement les changements doivent être développées. La préoccupation principale de ce dossier concerne les graves conditions climatiques dans la troposphère. Cependant, l'ionosphère et la mésosphère manifestent de fortes résonances avec les ondes électromagnétiques et ont été le sujet de recherches considérables sur leur modification. Le North Slope en Alaska contient 650 milliards de mètres cube de gaz naturel. En 1984, j'ai été a l'origine d'un programme sur le concept du gaz du North Slope pour trouver des moyens d'utilisation non chimiques de ces ressources. La position militaire stratégique du North Slope en Alaska et certaines autres caractéristiques exceptionnelles, telles que la proximité du pôle magnétique m'ont amené a suggérer que le gaz soit utilisé pour alimenter le système conceptuel pour modifier l'ionosphère et pour fournir de l'énergie à des véhicules spatiaux. La quantité d'énergie dans le gaz est bien supérieure à l'énergie totale stockée dans l'ionosphère. La disponibilité de la source importante d'énergie du gaz rend possible la conception de divers systèmes de modification de l'ionosphère avec des niveaux de puissance compris entre 10 puissance 4 et 10 puissance 12 watts (10000 watts et 1000 gigawatts). La recherche sur ces applications d'antennes de grande taille dans les années 80 a été encouragée par les agences du Département de la Défense. Cependant, en juillet 1986, un consultant du concept du gaz du North Slope de l'université d'Alaska a exprimé les commentaires suivants: "Dès que les informations sur n'importe lequel de ces projets seront portées à la connaissance des résidents de l'arrondissement du North Slope, elles déclencheront de fortes réactions d'inquiétude. En fonction des informations atteignant le domaine public, il y aura des inquiétudes sur la construction de ces gros systèmes dans la toundra; inquiétudes sur le fonctionnement de grandes ou nombreuses centrales électriques et inquiétudes sur les effets possibles des champs électromagnétiques. Que ces inquiétudes soient justifiées ou injustifiées, elles seront exprimées passionnément, peut être même avec véhémence. La conférence circumpolaire des Inuit (ICC) entrerait sûrement dans le jeu et "internationaliserait" la question, sollicitant le soutien du Canada et du Groenland. La classification de tout le projet dès le départ aiderait à empêcher des surprises ultérieurement (mais il est clair que la dissimulation ou le camouflage crédible serait en fait impossible). Je m'attends à une augmentation de l'activisme à ce sujet; si et quand les concepts opérationnels de déversement de particules piégées, de modification ionosphérique et de bouclier tueur deviennent largement connus, on peut s'attendre à une réaction internationale très forte et une intervention directe des Nations-Unies n'est pas exclue. Les commentaires ci-dessus se sont avérés être prophétiques. Depuis que le réseau HAARP a été construit en Alaska , il y a eu des protestations intenses par des environnementalistes locaux sur la sécurité et le but du projet. Puisque tant de réactions ont accompagné le projet HAARP, qui se situe dans les 3.6 Megawatt continu, comparé aux 100 Megawatt à 1 Terrawatt de l'idée de base du concept du gaz du North Slope, il est clair que la coopération internationale et la révélation doivent être obtenues pour des applications futures d'antennes de grande puissance, peu importe combien elles semblent bénéfiques. Les antennes telles que celles décrites ci-dessus peuvent aussi être utilisées pour la modification de la troposphère et de l'atmosphère supérieure. Les faisceaux d'énergie peuvent être dirigés sur certains phénomènes atmosphériques et, grâce à un choix approprié de la fréquence, peuvent délivrer de l'énergie à des régions spécifiques. Ceci a été reconnu en 1984 et un certain nombre de concepts pour la modification de l'environnement et de la météorologie ont été proposés (à 10 puissance 12 watt (10 Gigawatt) la capacité de puissance des antennes proposées est comparable à celle d'un grand mesocyclone). En 1986, des preuves d'un trou dans la couche d'ozone dans la région arctique s'accumulaient . Deux aspects de grandes antennes pour des ondes électromagnétiques furent perçus comme appropriés pour l'étude du trou possible dans la couche d'ozone. Premièrement, la cassure électrique de l'air au moyen de faisceaux concentrés de radiation électromagnétique pourrait être une source de production d'ozone. Les décharges électriques sont régulièrement utilisées pour la génération d'ozone. Ce concept a récemment été examiné par Smakhtin et Rybakov. Une application des antennes du North Slope était de concentrer de l'énergie vers des satellites à 36 Ghz, en utilisant une "fenêtre" dans l'atmosphère de la terre. Cette bande de fréquence permettrait l'utilisation de plus petites antennes que les 2.5 GHz considérés préalablement. Les miroirs ionosphériques ont aussi été considérés comme un moyen de réfléchir de l'énergie d'un endroit à un autre sur la terre sans utiliser de satellites. Le programme HAARP étudie la formation de couches réfléchissantes et de "lentilles" de plasma dans l'ionosphère. Des satellites solaires énergétiques ont été développés par Glacier en 1979 et ont été étudiés dans des programmes de la NASA et de l'ESA (Agence Spatiale Européenne) et dans d'autres programmes internationaux. Les puissances typiques prévues sont de 3000 à 10000 Megawatt, ce qui se situe au milieu de la gamme suggérée dans le concept de gaz du North Slope. Contrairement à une installation située à un seul emplacement géographique, tel que le North Slope en Alaska, un système de satellites géostationnaires ou dans une orbite plus basse pourrait augmenter l'étendue d'applicabilité des idées de modification du climat. |
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