Ces opérations
ne peuvent avoir lieu qu'avec la complicité volontaire (ou involontaire
par des gens ignorants qui sont incapables de regarder eux-mêmes
ce qui se passe dans le ciel): -Du
président de la république
-De tous les ministres sans exception et certainement jusqu'à
plusieurs niveaux en-dessous
-Du monde politique
-Des principales sociétés impliquées dans l'aéronautique
et le spatial: EADS, CNES...
-De l'armée
-De la presse écrite silencieuse
ou mensongère
-De la télévision qui
montre de plus en plus d'images subliminales de chemtrails dans les
reportages et dont les bulletins météo débutent
et finissent avec des photos de nuages de plus en plus bizarres en arrière
plan, et de vos présentateurs préférés,
journaleux millionnaires corrompus aux ordres du gouvernement
-De la presse "scientifique"
qui publie des articles mensongers ou des photos incluant des chemtrails
-Des Nations Unis
-De l'Organisation Mondiale de la Santé
-Des organisations écologistes silencieuses
-De Météo France
-Des agences de publicité qui
montrent de plus en plus d'avions avec des panaches de fumée
ou qui détournent les photos de chemtrails
-Des studios de cinéma
-Des éditeurs de jeux vidéo
-Aux États-Unis, de la NASA dont on peut
admirer un des sites
(en anglais), tissu de mensonges et propagande négationniste
destinée au lavage de cerveau de la jeunesse états-unienne.
Voir à ce sujet l'USC
(Union of Concerned Scientists, l'Union des Scientifiques Concernés,
en anglais):
18
février 2004 - D'éminents scientifiques protestent contre
le mauvais usage de la science par l'administration Bush:
Aujourd'hui, plus de 60 scientifiques de premier plan - incluant des
prix Nobel, des experts médicaux renommés, d'anciens directeurs
d'agences fédérales et des chaires et présidents
d'université - ont publié une déclaration demandant
un contrôle et une action législative pour rétablir
l'intégrité scientifique dans les décisions fédérales.
D'après les scientifiques, l'administration
Bush a, entre autres abus, supprimé et falsifié les analyses
scientifiques des agences fédérales, et entreprit
des actions qui ont sapé la qualité des comités
consultatifs scientifiques.
Cas après cas, la contribution scientifique dans les décisions
politiques est censurée et falsifiée. Ceci
aura de graves conséquences pour la santé publique.
La déclaration demande que "les
distorsions des connaissances scientifiques pour des fins politiques
partisanes de l'administration Bush doivent cesser" et appellent
à des auditions sur les erreurs du Congrès, à la
garantie d'accès au public des études scientifiques gouvernementales
et à d'autres mesures pour éviter de tels abus à
l'avenir. La déclaration demande également aux communautés
scientifiques, médicales et d'ingénieurs de travailler
ensemble pour rétablir l'intégrité scientifique
dans le processus décisionnel gouvernemental.
8
juillet 2004 - De nouveaux cas d'abus scientifiques par l'administration
apparaissent:
Des milliers de scientifiques supplémentaires se joignent aux
protestations.
Aujourd'hui, l'Union des Scientifiques Concernés a communiqué
de nouvelles preuves que l'administration Bush
continue de supprimer et falsifier les connaissances scientifiques
et à saper les comités consultatifs scientifiques. Le
nombre de scientifiques demandant la fin de ces pratiques et le rétablissement
de l'intégrité scientifique dans les décisions
politiques fédérales atteint maintenant plus de 4000,
incluant 48 prix Nobel, 62 lauréats de la Médaille Nationale
des Sciences, et 127 membres de l'Académie Nationale des Sciences.
Restaurer
l'intégrité scientifique
À travers une large gamme de problèmes - de l'empoisonnement
des enfants par le plomb et des rejets de mercure au changement
de climat, aux problèmes de santé dus à
la reproduction et aux armes nucléaires - l'administration
falsifie et censure les découvertes scientifiques qui contredisent
sa politique; manipulant la science prioritaire pour aligner
les résultats avec les décisions politiques prédéterminées;
sapant l'indépendance des comités consultatifs scientifiques
en soumettant les nominés des comités à des mises
à l'épreuve qui ont peu ou pas du tout de rapport avec
leur expertise; nommant des non-experts ou des individus sous-qualifiés
étrangers au courant scientifique dominant ou ayant des liens
avec l'industrie; aussi bien que mettant fin complètement à
ces comités consultatifs.
Ces activités inquiètent fortement les membres de la communauté
scientifique aussi bien que ceux qui dépendent des informations
du gouvernement pour leurs décisions politiques. Mais elles
devraient également inquiéter le public américain,
qui place sa confiance dans le gouvernement comme médiateur sincère
pour l'information scientifique et comme protecteur de notre santé
et notre sécurité.
Il y a toutes les raisons de croire que la situation
est identique en France. |